Vers une meilleure santé et un meilleur bien-être dans les petits États de la Région européenne de l’OMS : déclaration du Monténégro : Huitième Réunion de haut niveau de l’Initiative des petits États, 2-3 juin 2022, Bečići (Budva), Monténégro

Si la pandémie de COVID-19 a eu des effets sans précédents sur les économies et les systèmes de santé nationaux, son impact sur les 11 plus petits États de la Région européenne de l’OMS (l’économie de la majorité d’entre eux étant largement dépendante du tourisme) a été particulièrement grave. Rassemblés à l’occasion de la Huitième Réunion de haut niveau de l’Initiative des petits États de l’OMS/Europe, les ministres de la Santé et les délégués des pays concernés ont approuvé une vision audacieuse pour favoriser le relèvement post- COVID-19. Au cours de cet événement de deux jours organisé les 2 et 3 juin 2022 à Bečići (Monténégro), les ministres et leurs représentants se sont penchés sur deux questions essentielles : comment les petits États peuvent-ils réussir à se remettre de la pandémie, et comment peuvent-ils placer la santé au cœur de leur secteur touristique ? À la fin de la réunion, les délégués nationaux ont adopté à l’unanimité la Déclaration du Monténégro qui présente les principaux engagements pour aller de l’avant.

Rapport de la dixième réunion du Groupe de Travail Européen Environnement et Santé: réunion virtuelle, 17 et 18 février 2021

La dixième réunion du groupe de travail européen Environnement et santé a eu lieu en ligne les 17 et 18 février 2021. Après un dialogue ouvert aux parties prenantes et au grand public, les représentants ont discuté des conséquences de la pandémie de maladie à coronavirus (COVID-19) sur le programme d'action relatif à l'environnement et à la santé, du programme de travail du Groupe pour l'année à venir, du cadre de suivi de la mise en œuvre de la Déclaration d'Ostrava et des premiers préparatifs de la Septième conférence ministérielle sur l'environnement et la santé ; ils ont également adopté le règlement du Groupe de travail.

Rapport du directeur régional : les activités du Bureau régional de l’OMS pour l’Europe en 2020-2021

Le présent rapport vise à donner un aperçu des principales activités menées par le Bureau régional de l’OMS pour l’Europe (OMS/Europe) depuis septembre 2020. Les travaux de l’OMS/Europe au cours de l’année écoulée ont été réalisés sur la base du Programme de travail européen 2020-2025 – « Une unité d’action pour une meilleure santé en Europe », de ses quatre initiatives phares, et des cibles du Treizième Programme général de travail 2019-2023 (treizième PGT). Le rapport présente les activités relevant de chacun des trois piliers du treizième PGT (les situations d’urgence sanitaire, la couverture sanitaire universelle, et la santé et le bien-être) ainsi que du pilier porteur relatif à une meilleure adaptation aux besoins. Chacun de ces piliers est abordé dans le contexte de la pandémie de COVID-19 qui continue d’exiger la plus grande attention et la mobilisation de l’Organisation dans son ensemble.

Rapport du directeur régional : les activités de l’OMS/Europe en 2019-2020

Ce rapport a été présenté au Comité régional pour l’Europe (EUR/RC70/5 Rev.2). Il rend compte des principales activités de l’OMS/Europe en 2019-2020. L’OMS/Europe a consacré une grande part de son travail à l’aide aux pays pour la gestion de la pandémie de COVID-19. Parallèlement, elle a continué à œuvrer à la réalisation des cibles énoncées dans le Treizième Programme général de travail (treizième PGT) de l’OMS, tout en se mettant à même de concrétiser la vision, centrée sur les pays, du projet de Programme de travail européen (2020-2025).

Renforcement et ajustement des mesures de santé publique à chaque étape de la transition dans la lutte contre la COVID-1: considérations concernant la politique à mener dans la Région européenne de l’OMS, 24 Avril 2020

Le présent document expose des considérationsessentielles aux États membres pour les aider à modulerles mesures de restriction à grande échelle en matièrede santé publique (restrictions de déplacement etdistanciation physique à grande échelle), tout enrenforçant les principales capacités des services de santépublique (identifier, isoler, tester et soigner chaquepatient et placer ses contacts en quarantaine), ainsique les mesures de protection personnelle (lavage desmains, respect des règles d’hygiène en cas de toux oud’éternuement) et la distanciation physique au niveauindividuel (>1 mètre de distance entre les personnes).Cette transition doit être fondée sur des évaluations desrisques aux niveaux national, sous-national, voire localcar, de façon générale, la transmission de la COVID-19n’est pas homogène au sein d’un même pays.